De grandine et tonitruis
Agobar, savant et sage, avait prévenu
Son Grand Empereur que le temps était venu.
Charlemagne ainsi connut le Peuple de l’air,
Anges intermédiaires d’un monde inconnu.
Voguant sur les nuages, leurs vaisseaux d’éclair
Dévastaient les champs de signes par leurs auras,
Qui font penser aux géoglyphes des Nazcas.
Son petit-fils... Les Ægyptiens, avaient tout vu.
Parfois, ils enlevaient des témoins de valeur,
Afin de nous expliquer leurs intentions.
On fit hisser des mâts pleins d’incantations
Afin de leur souhaiter naufrages et malheur.
Joël Gissy