Indiscrétion
Quand on regarde, il faut s’attendre à voir des choses.
Confiance angoissée, laisse les portes closes.
Mais, dans un grincement, si s’ouvre le placard,
Le profanateur souffre à rebours d’un regard,
Contemplation d’un spectacle catastrophique,
Par ses révélations plus décevant et cru
Qu’un vieux pervers entrouvrant son manteau, nu.
Mais, obséquieuse, une présence énigmatique
Referme le cercueil, couloir labyrinthique.
Joël Gissy

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