Atavis et Armis
Chassés comme des bannis repoussants,
Les Pauvres chevaliers pourissants
Déchiraient leur chair à travers les vents.
La bravoure immaculée de cet ordre
Que les sables à force de les mordre
Ont éventé en poussière, à se tordre
Son piètre bras, fonçant jusqu'à la fin
D'un galop qui seul peut être serein,
Par Lazare élevés, mirage saint.
Joël Gissy
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire