Touchons la veine
Potentiel d’Atar habité,
Tel d’un génie au corps igné,
Les nervures du bois crépitent.
Runes dont les livres méditent
D’une écorce où survit l’aura
Couvant l’ardeur du sang solaire,
Sacrifice, éclot un mystère
Horusien naissant de Mithra.
De la grotte au ciel obscurci,
Revient en lumière la nuit.
Joël Gissy
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